La question pour la compréhension aujourd’hui est une question qui doit etre répondue en considerant le double jeux qui va du present au passé, mais aussi du passé au present.

Il s’agit d’elucider, quelle est la pertinence d’une sociologie compréhensive dans la societé contemporaine?

Luckman et Berger, á la fin de la Construction sociale de la réalité nous ont dit que pour la sociologie c’est absolument necessaire établir un dialogue avec l’histoire et avec la philosophie puisque sans cet échange, la sociologie risque de perdre son prope objet de recherche: la societé, celle ci comprise comme un partie du monde produit et habité par les hommes eux memes que ont aussi cherché a se former dans un processus historique en continuité.

Et précisement, en partant de cette définition, nous puvons dire que la compréhension n’est pas une catégorie. Il s’agit plutot d’une notion, c’est-a-dire, une notion dans le sens d’une forme opperationnelle mental, un spéce de surplus de conscience que peut produire une forme spécifique de connaissance élémentale.

Evidement il est necessaire de dire ce que nous comprenons pour élémental, basique. Il s’agit du fondement. Nous faisons ici une association avec le significatif, tout ce qui porta de sens. C’est un chemin que commence par l’apréhension pour arriver a la compréhension.

Cést dans l’histoire de la pensée sociale qui nait la sociologie, elle en est sa fille naturelle. La sociologie s’est produite et dévéloppée á partir de la philosophie et particuliérement dans la théorie de la connaissance. Et meme, s’il nést pas facil de suivre toutes les traces historiques de la notion de la compréhension il est accepté que cést a partir de Giambatista Vico que s’est produit l’interet pour la compréhension comment une forme de s’opposer á la possibilité facil de tout expliquer.

Meme avant Vico, la notion peut etre suivie jusqu’a Hobbes. Certaines indices comment le dit Phillipe Rayneud, ont eté empruntés au philosophe médieval Thomas d’Aquin qui en est le prémier a faire la distinction entre le cognoscible et l’incognoscible, selon si l’homme participe ou non dans sa création, sa production.

Avec beaucoup plus de clarté le clercq italian Vico, dans la Science Nouvelle fait, á l’avance, des quéstionements á la raison illuministe, en affirmant que la puissance de la raison humaine est incapable de comprendre directement la nature. L´homme, dit Vico est capable d’analyser, décomposer, et meme de violenter le naturel, mais il est incapable de le comprendre, de trouver leur sens ultime, tout pour la simple raison de que lui n’a pas participé de sa création.

Par contre, au sujet de tout ce que l’homme a produit, par example, les mathématiques, la morale, le droit, la société elle meme, ou la culture danns son ensamble, au moment que sont produits de l’homme, il est possible d’attendre leur compréhension dans toute sa complexité
Vico dit que l’homme se trouve comme ca, dans une position non idéntique, mais hommologue á Dieu: l’homme s’est découvert comme le créateur de soi meme. Cet Vico est le Vico que Marx aime et essaie de récuperer.

L’homme est capable de se connaitre, toute fois qu’il meme s’est produit et est cause de ses réalités, et de ses pautes politiques et moraux.

C’est pour ce-la qu’il va plus loin que les illuministes, en anticipant une critique de l’encyclopedisme: Vico dit de faire attention face aux mythologies, pour lui il ne s’agit pas des mensonges des peuples ignorants, le mythe, l’art, le symbole, les ritueles signifient, forment partie de l’enchantement du monde. Ils nous dissent beaucoup plus de ce que litéralement ou litterariement on peux trouver en eux. De cette maniére au comprendre le monde de l’homme Vico anticipa Levy-Strauss et aussi Gilbert Durand.

On peut lire, par example, dans le Livre II de la Science Nouvelle, dans la sagesse poétique, dans la partie nommée cannones mythologiques une forme de comprendre autrément la mythologie grecque associée aux grecques anciens, vivants á leur prope époque, beauoup plus que les vicisitudes des vies amoureuses de leurs dieux. Je suive ici les travaux de Isahia Berlin sur Vico, principalment dans son texte   A contrecourante.

On dit qu’avant Vico c’est Hobbes qui fait la prémiere distinction entre connaissance des faits et connassance des cosequences: la logique causale chere a Weber. C’est aussi a Hobbes qu’on doit l’idée de la société comment corps social si chere a Foucault.

C’est précisement entre la position de Vico et celle de Hobbes que se dessina la méthode Weber. D´’un coté la compréhension d’un autre la causalité. Il y a pourtant une tensión necessaire et non résolue entre l’un et l’autre.

C’est interessant de constater la distinction que si tot a produit Hobbes entre une philosophie naturelle et un philosophie civique. Le Leviatán aurait aussi une influence enorme dans la pensée noon contractualiste de Weber. La violence fondatrice, constitutive de la ociété et de la forme Etat.

Mias c’est dans tout un autre contexte que l’empirisme anglais ou la rétorique italiennne de Vico, que le parcours de la notion de la compréhension va se développer pour la sociologie.

C’est dans le débat germanique, certes assez connu, ais du quel suffit de sassir quelques éléments pour comprendre leur dévéloppement plus tard.

Tout d’accord avec Pietro Rossi, il est necessaire de partir d’un double crise, d’un coté la crise d l’historicisme, fortement lié au romanticisme, et de maniere dérivée la crise de l’economie historiciste.

Cette dispute méthodologique aurait montré la pertinence d’une sociologie autonome, bien vis-a-vis de l’economie aussi que de la philosophie. La pousée de la sociologie francaise (bien Comte que Durkheim) a forcé aux allemands a definir ses propes voies. Il a été necessaire de réconstituer, dans un cadre pre-sociologique, tres philosophique meme, ce débat pour produire la differenmce entre les procedures de connaissance des sciences de la nature et celles de sciences socio historiques.

Pour Dilthey, les sciences socio-historiques font parti des sciences de l’esprit, en contraposition a celles de la nature. Depuis Vico c’est lui qui propose la notion de compréhension comment une procedure de connaissance prope aux rapports entre le social et l’historiographie.

Dilthey fait la conexion entre sciences humaines et historiographie en deffinisant la compréhension comment leur procedure commune. Ce que fait la séparation entre sciences socio-historiques et sciences de la nature c’est l’opposition entre compréhension et explication, difference dedoublé entre la causalité et la compréhension.

C’est Windelband qui fait la correction de Dilthey avec la propositin de diviser les sciences en deux types: d’un part les sciences nomotetiques (productrices des systemes des lois) et de l’autre les sciences idéographiques. (Celles que font la détermination de l’individualité d’une situation ou d’un phénomene) Windelband prétend de cet facón écarter l’idée d’ésprit metaphysique chez Dilthey.

A son tour Rickert soutien la conexión entre sciences sociales et historiographie. Pour lui la nature c’est la rélité comprise comment réference en general, tandis que l’histoire est comprise en réference au singulier. Pour lui le champ de la connaissance historique et leur valeurs c’est le champ des sciences de la culture.

La position de Max Weber a été l’integration de Windelband avec Rickert sans pourtant se défaire par complet de Dilthey.

Weber refait la notion de la compréhension comment une opperation que n’est pas inmédiate, un procesus que fait la formulation des hypothes interpretatives que attendent, ca meme, une procedure de vérification émpirique sur la base d’une interpretation causale. D’une certaine bacón Weber fait l’integration toute a la fois de Hobbes, de Vico, mais aussi de Dilthey avec Windelband et Rickert.

Evidement l’autre point critique du débat c’est la constitution de l’axiologie, le monde des valeurs, la lutte des dieux ety de la pluralité.

D’apres Weber la synthese integre la comprensión avec l’explication causale á travers d’une procedure d’imputation, concept emprunté aux sciences juridiques, tout en faissant la distinction entre caustion adécuate et causation sécondaire ou accidentelle. Weber a du reconaitre que lui a crée un concept de compromis nommé jugement de possibilité objective, ce que veut dire, qu’il existe une tensión forte entre compréhension et explication causale.

Si nous deplacons, un peu arbitrairement, le débat a notre époque je porrais dire que la ension entre compréhension et explication subsiste, mais malheureusement en d´pit de la compréhension. Dans certaines milieux universitaires on fait privilege des analyses plutot réductionistes, a mon avis cést un appauvrisement des recherches. La compréhension n’est pas de l’ordre de l’exactitud mais de l’ordre de l’orientation et des grands traits, elle permet de ne pas se perdre, et cela c’est sa vertu. En Termes actuels accepter la voie des réductions systematiques c’est de renoncer non seulement á comprendre mais plus largement a connaitre.

Je n’aime pas de faire du futurisme, mais dans la prospective de la discipline sociologique s’il faut trouver un chemin pour la compréhension il faudrait plutot le construir avec ténacité en prenant les nouveaux comportement sociétales, beaucoup entre eux que ne sont pas de l’ordre de la logique rationelle ou traditionelle, mais font partie de ce que nous appelons, la socialité postmoderne ou bien simplement dans de pays comme le notre, dans l’Amerique Latine, de la socialité post-traditionelle, sans y arriver a vouloir etre complétement modernes.

 

luis e gomez sociologo mexico unam

Dr. Luis E. Gómez
Sociólogo mexicano especialista en temas de teoría social contemporánea.

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